Prix Mignet

> Paul de SINETY

Le secret de leur vie : La folle histoire d’amour de saint Elzéar et la bienheureuse Delphine

Éditions du Cerf

Un récit inspiré où l’érudition rencontre la ferveur, retraçant la destinée d’un couple exemplaire du Moyen Âge provençal.

 

Prix Thiers

> Thierry MAUGENEST & William D. ADAMS

Cezanne à Château Noir, histoire d’une fascination

Éditions Hervé Chopin

Une plongée lumineuse dans les paysages aixois et l’univers intime du maître de l’art moderne.

 

Prix Arbaud 

> Bernadette MURPHY

Le café de Van Gogh 

Actes Sud

Sous la plume d’une historienne passionnée, Arles et Van Gogh reprennent vie dans les reflets d’un café devenu mythe.

 

Prix Peiresc 

> Anne-Marie CHENY

Le cercle des byzantinistes. Comment bibliothécaires, savants et voyageurs inventèrent Byzance (XVIeXIXe siècle)

Éditions Les Belles-Lettres

Un hommage aux savants et aux passeurs d’érudition, dans la lignée humaniste chère à l’Académie.

 

Prix Bruno Durand 

> Pierre FABRE

Dans l’intimité de Frédéric Mistral. Lettres à sa femme

Éditions Offray

Une correspondance tendre et éclairante qui révèle le visage domestique et affectueux du grand Félibre.

 

Prix de Lourmarin

> Félix LAFFÉ

L’Oléiculture en Terre des Baux, XVeXXIe siècle

Le Temps de l’Histoire, Presses Universitaires de Provence

Un panorama érudit et sensible sur une tradition provençale qui unit travail, terre et culture.

Cabinet de travail de Paul Arbaud.

Le musée-bibliothèque Paul-Arbaud

Siège de l’Académie des sciences, agriculture, arts et belles-lettres d’Aix qui en est propriétaire, le musée-bibliothèque Paul-Arbaud est situé à l’entrée du quartier Mazarin, sur l’emplacement d’un ancien couvent de Feuillants, construit au milieu du XVIIe siècle, vendu comme bien national et détruit à la Révolution. Le musée porte le nom de son fondateur, Paul Arbaud, né le 29 mars 1831 à Paris où son père était juge au tribunal de la Seine.

Collectionneur, bibliophile et mécène, Paul Arbaud consacra sa vie et la fortune qu’il hérita de son père à réunir un ensemble tout à fait exceptionnel tant par l’ampleur que par la qualité et la diversité des pièces et des objets rassemblés.

À la fin de sa vie, veuf et sans enfants, pour éviter que ses collections ne soient partagées et dispersées, Paul Arbaud, par son testament rédigé en octobre 1910, les légua, ainsi que son hôtel, à l’Académie d’Aix dont il était membre d’honneur, à charge pour elle de les entretenir et de les ouvrir au public. Il mourut peu après, le 17 mars 1911.

Le musée bénéfice de l’appellation Musée de France, attribuée par le ministère de la Culture.